Pouvez-vous nous présenter votre institut ?
Ce n’est pas un institut mais à ce jour une pièce dans ma maison, un cabinet.
Je suis en train de rénover mon étage afin de pouvoir compléter mes prestations par des massages bien-être.
Pourquoi avez-vous choisi l’appareil de LUXOMED, le Luxoscreen® ?
J’étais une cliente avant d’être une praticienne. En 2014, c’était pour moi une révélation, une machine pouvait enfin m’aider.
J’en parle à tout le monde. Puis le covid est arrivé et l’heure du bilan de carrière avec… je ne me plaisais plus dans mon domaine (CADRE dans une enseigne de bricolage).
J’avais tellement envie d’être plus proche des gens et de les aider. La Luxopuncture était la clé.
Comment avez-vous lancé ces nouveaux soins de Luxopuncture ?
J’ai réalisé une publicité sur le journal local (le JSL- journal de Saône-et-Loire). Le lendemain, le téléphone sonne.
Aujourd’hui, c’est le bouche à oreille qui m’apporte des clients.
Cette technique répond-elle à la demande de votre clientèle ?
Oui, bien sûr, mais ce n’est pas non plus sans efforts.
Tout le monde aimerait trouver la solution à ses problèmes et les régler en une séance.
C’est donc pour cela que j’ai décidé d’offrir le bilan à tous mes clients. Il me permet d’expliquer le déroulement de la cure et d’échanger avec eux sur leur motivation et leurs attentes.
Quels sont les retours de vos clientes ?
Les retours sont positifs. Voir des femmes retrouver le sourire et vivre leur ménopause plus sereinement est un vrai bonheur.
Voir des personnes angoisser depuis tant d’années, retrouver une paix intérieure, c’est beau.
C’est ça aussi la beauté du métier que nous faisons.
Quel est le bilan aujourd’hui ? En conclusion ?
Le bilan est bon à ce jour.
J’ai même décidé de rentrer en septembre en école de médecine traditionnelle chinoise pour augmenter mon champ d’action.
L’avantage du Luxoscreen, c’est qu’il sera une alternative aux aiguilles pour celles et ceux qui n’aiment pas.
J’ai également été découvrir la pressothérapie lors d’un salon LUXOMED, cette merveille viendra compléter mes soins d’ici 1 ou 2 ans.